Le projet de TVA sociale a été lancé au conseil des ministres de mercredi dernier
Le relèvement de la TVA (de 19.6 à 21.2%) ne touche ni les produits de première nécessité (alimentation...) ni les médicaments. La baisse des charges (suppression de la cotisation familiale de 5.4% pour les salaires allant de 1,6 smic à 2,1 smic) est plus importante en taux que la hausse de la TVA.
La conséquence devrait être:
a- une stabilité des prix sur les produits fabriqués en France (Le prix intègrera: la hausse de la TVA – baisse du coûts du travail et c’est la raison pour laquelle l’application n’aura lieu qu’en octobre pour que cet équilibre puisse se mettre en place)
b- une augmentation des prix des produits importés
c- de donner un avantage aux produits fabriqués en France aussi bien à l’export, que sur le marché intérieur. (C’est ce que beaucoup réclame par une restauration de barrières douanières. Sauf qu’instaurer des droits de douane n’est pas possible pour la France dans l'UE ou pour l'UE)
d- de diminuer le coût du chômage en diminuant le nombre de chômeurs grâce à la compétitivité retrouvée des entreprises.
La baisse des charges concernera à 25% l'industrie, ce qui est plus que proportionnel, sachant que l'industrie ne représente plus que moins de 20% du PIB
a- une stabilité des prix sur les produits fabriqués en France (Le prix intègrera: la hausse de la TVA – baisse du coûts du travail et c’est la raison pour laquelle l’application n’aura lieu qu’en octobre pour que cet équilibre puisse se mettre en place)
b- une augmentation des prix des produits importés
c- de donner un avantage aux produits fabriqués en France aussi bien à l’export, que sur le marché intérieur. (C’est ce que beaucoup réclame par une restauration de barrières douanières. Sauf qu’instaurer des droits de douane n’est pas possible pour la France dans l'UE ou pour l'UE)
d- de diminuer le coût du chômage en diminuant le nombre de chômeurs grâce à la compétitivité retrouvée des entreprises.
La baisse des charges concernera à 25% l'industrie, ce qui est plus que proportionnel, sachant que l'industrie ne représente plus que moins de 20% du PIB
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